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Options d'immigration pour les victimes de crimes : Résidence permanente grâce à la loi VAWA (Violence Against Women Act)

Le mois dernier, nous avons abordé la question de l'obtention d'un statut d'immigrant par le biais de la procédure du visa U, qui est disponible pour les victimes de certains crimes. Aujourd'hui, nous allons parler de l'obtention de la résidence permanente par le biais de la loi VAWA (Violence Against Women Act) en tant que victime de violence domestique physique ou mentale. Une idée fausse très courante, due au nom de la règle, est que cette option n'est disponible que pour les femmes ayant subi des violences domestiques. En réalité, les hommes, les femmes et les enfants peuvent bénéficier de cet avantage, pour autant qu'ils soient en mesure de prouver qu'ils remplissent les conditions générales suivantes :

  1. Le pétitionnaire (la personne qui dépose la demande) a subi des violences mentales ou physiques de la part de son agresseur.

  2. L'agresseur est un citoyen américain ou un résident permanent légal.

  3. Le requérant est le conjoint, la veuve ou le veuf, l'enfant ou le parent de l'agresseur (dans le cas d'un parent, l'agresseur doit être un fils ou une fille de nationalité américaine).

  4. Le requérant vivait avec l'agresseur.

  5. Le pétitionnaire a une bonne moralité.

Si la pétition est approuvée par l'USCIS, les pétitionnaires admissibles peuvent alors demander aux États-Unis d'ajuster leur statut à celui de résident permanent légal (également connu sous le nom de "carte verte").

Comme pour toute question d'immigration, il est toujours important de s'adresser à un avocat expérimenté. Les faits de chaque cas individuel peuvent affecter l'éligibilité.

(Les informations contenues dans cet article (a) sont fournies uniquement à titre d'information générale, (b) ne sont pas fournies dans le cadre de et ne créent pas ou ne constituent pas une relation avocat-client, (c) ne sont pas destinées à être sollicitées, (d) ne sont pas destinées à transmettre ou à constituer un conseil juridique, et (e) ne remplacent pas l'obtention d'un conseil juridique auprès d'un avocat qualifié. Vous ne devez pas agir sur la base de ces informations sans avoir préalablement demandé l'avis d'un professionnel qualifié sur votre question spécifique).

wesley wilson